pendule
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Faut-il faire démarrer le pendule ?

Pour avoir une réponse rapide, il est préférable d’engager une légère oscillation d’avant en arrière qui va favoriser le mouvement de rotation, mais ce n’est pas une obligation. Les différents exercices vont vous permettre d’expérimenter, de ressentir (avec les sens) si vous préférez lancer le pendule ou le laisser démarrer tout seul. Dans tous les cas, il n’y aura pas de conséquence sur le résultat et vous pouvez changer durant votre pratique.

A – Puis-je prêter mon pendule à tout le monde ?

Rares sont les radiesthésistes qui prêtent leur pendule, sauf à le considérer comme un « vulgaire » transmetteur d’information. Sans le sacraliser, cette attitude est liée au fait que certaines personnes peuvent « charger » le pendule d’un travail déjà effectué (même s’il est possible de le désimprégner). Le plus simple est de faire un stage en pendule. Il va vous permettre de découvrir les secrets de cet art, tout comme le stage en radiesthésie.

B – Le coude doit-il être appuyé ?

Non, il faut être libre dans vos mouvements et de ne pas entraver la communication entre le corps et le pendule. Mais les exercices, votre sensibilité et les résultats que vous obtiendrez vous permettront de déterminer si vous pouvez ou pas appuyer légèrement votre coude.

C – Les différentes techniques

Le pendule conduit une information qui passe par l’ensemble de notre corps pour ressortir là où il y a le plus de micro-vibrations. C’est la raison pour laquelle on le tient dans l’extrémité de la main, le plus souvent entre le pouce et l’index. On ne le saisit pas en pleine main car notre sensibilité est moins forte. Deux positions sont le plus souvent utilisées (à vous de choisir celle qui vous correspond le mieux – sachant que vous pouvez évoluer dans le temps) :

Ø  L’index est horizontal, votre pouce vient bloquer la chaîne pour ne pas qu’il tombe (Figure 1) ;

Ø 

Figure 1 : L’index horizontal

 

Figure 2 : Du bout des doigts

Du bout des doigts (Figure 2).

 

 

 

 

 

 

 

D – Quelle longueur de chaine ?

A na pas faire : la chaîne qui pend de l’autre côté de la main.

Il n’existe pas de règle en la matière, tout ceci est histoire de sensibilité et d’habitude. Plus la chaîne est courte et plus la réponse est rapide (peut être plus adaptée pour ceux qui ont moins de sensibilité) ou une chaîne plus longue, avec une réponse moins rapide (adapté pour les personnes ayant plus de sensibilité). Là encore, à vous de faire des tests – et vous pouvez changer suivant vos expériences. Attention, si vous utilisez qu’une petite partie de la chaîne, bien conserver le restant dans la main pour ne pas le voir pendre de l’autre côté de la main (et éviter une seconde onde de forme – concept détaillé dans la partie relative à la radiesthésie médicale). Le surplus de chaine doit être bien calé dans le creux de la main avec le majeur, annulaire et auriculaire bien refermé comme lorsque l’on resserre le point (attention, pas de crispation).

Ce premier module permet d’aborder en théorie la tenue du pendule. La suite va vous permettre de mettre en application tous ces éléments afin d’adapter le positionnement de votre pendule à vous.

E –  D’UN ÉTAT D’ESPRIT À UNE PRISE EN MAIN

Le pendule va servir à répondre à des questions. Le sens de son mouvement, dirigé non par la volonté consciente mais par le subconscient, va apporter les réponses. Deux éléments sont nécessaires avant d’arriver à cette étape. Il convient tout d’abord de se mettre en état de, d’être prêt pour agir, pour travailler avec le pendule. Cette étape, indispensable que l’on soit un novice ou un radiesthésiste expérimenté, va laisser la place à la prise en main pour s’approprier les réactions du pendule.  Cela va passer par une série d’exercices progressifs qui peuvent paraître simple au demeurant mais qui constituent la base pour avoir un résultat efficace par la suite. Et c’est comme le vélo, une fois que l’on a réussi ces exercices, ils sont gravés en dur dans notre cerveau et nous n’aurons plus jamais à les refaire pour aller directement questionner le pendule.

F – Être en forme et préparé

Même si avec la pratique on obtient très rapidement les réponses aux questions que l’on se pose, il faut se trouver dans un cadre propice pour se mettre en résonnance avec l’objet de sa recherche. Voici les éléments à prendre en compte avant de débuter. Yves Rocard nous indiquait dans ses recherches qu’un bon sourcier était également un bon magnétiseur. C’est la raison pour laquelle cette mise en condition est identique pour les deux disciplines.

G – Se mettre en condition

Voici ci-dessous quelques éléments importants avant de pratiquer. La liste peut paraître longue mais elle fait souvent référence au bon sens. Ne prenez jamais toutes ces assertions au pied de la lettre. Ce ne sont pas des commandements mais des indications pour avoir un résultat optimal.

Ø  S’isoler de l’ensemble des vibrations qui nous entourent pour se concentrer sur celle que l’on recherche. Si la télévision est à tue-tête, vous êtes en train de faire la fête dans une discothèque, il y a peu de chance que les résultats soient probants ;

Ø  Ne pas mettre d’affecte dans la question – disposer d’une neutralité complète. Si vous recherchez sur une carte votre enfant kidnappé, votre sensibilité sera tellement forte que vous ne parviendrez pas à obtenir de résultats. Dans le même ordre d’idée, pas d’imagination ou de suggestion. Il faut rester neutre/indifférent sans a priori (préjugés) face au résultat ;

Ø  Ne poser qu’une seule fois la question, même si la réponse que vous propose le pendule ne vous convient pas ;

Ø  Être bien installé. On s’installe soit debout, soit assis. Pas de jambes ou de bras croisés, pas d’ordinateurs portable sur les genoux ou collé à un transformateur électrique, pas les membres tendus, pas dans des vêtements qui oppressent et qui déconcentrent la pensée… il faut être décontracté et libre de ses mouvements ;

Ø  Être en bonne disposition alimentaire : ne pas avoir faim ou attendre que la digestion soit faite si vous êtes sensibles sur ce point ;

Ø  Avec une attitude mentale adaptée à la pratique : on ne pose pas de question en se précipitant dans la voiture après avoir posé son enfant au sport et en courant à la voiture pour faire les courses avant de le récupérer. Un état de stress ou de fatigue trop importante n’est pas non plus opportun pour apporter les meilleures réponses aux questions posées. Il faut donc du calme, de la patience. Surtout pas de crispation ou d’énervement lors des premières tentatives lorsque le résultat n’arrive pas comme on le souhaite.

 

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